Tout jeune, l'oeil collé au viseur du Foca Sport de son père, Thierry Magniez découvre en noir et blanc le monde qui l'entoure.
Plus récemment son regard sensible à la grâce féminine lui permet d'être lauréat au Festival Européen de la Photo de Nu. Puis sa série “Itinéraire d’une femme libre” est exposée à Arles à ce même festival.
En parallèle de ses travaux sur la féminité Thierry met en image le paysage naturel ou urbain et la façon dont l’homme le façonne ou le subit.
De retour au nu féminin (et à la couleur) avec sa nouvelle série “Eve et le Paradis Perdu”, il s’interroge sur la place de la femme dans un monde contemporain déshumanisé.
Thierry travaille actuellement à la chambre grand format avec un procédé ancien sur la série “Perceptions Intemporelles”. C’est pour lui une manière de faire un pied de nez à l'époque actuelle qui veut que tout aille trop vite, que tout se démode trop vite...